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Suivez mes dernières inspirationsVenise : quelques raisons d’aimer la sérénissime
Venise, quelles raisons me font aimer la cité des doges?
La première c’est le mélange d’étrangeté, de beauté et d’art . La deuxième raison c’est le spritz bitter que l’on boit le soir sur un campo avant d’aller diner.
Tokyo, nuits imaginaires
Le Japon a exercé sur moi un attrait puissant grâce au cinéma.
Vous pensez que je vais citer Kurosawa, Misoguchi, Imamura, Kitano ou Oshima?
Vous n’y êtes pas du tout!
Londres , mes nouvelles créations
Nouvelles images inspirées par Londres complétées par de la musique et quelques indications de lecture.
Tarbes: Nouvelles créations
Ma vision de Tarbes et l’influence de certaines périodes vécues dans ma ville natale sur ma réflexion, mon travail d’artiste et mes nouvelles créations
Ô Toulouse
1978-2005. 27 ans au cours desquels j’ai apprécié le charme de Toulouse, la ville rose pour la couleur de la brique de terre cuite peut- être héritée des romains ou bien la cité des violettes pour la culture de cette fleur développée au XIXe siècle.
Nouveauté à Tarbes
Pour ceux qui souhaitent voir certaines de mes œuvres, la galerie Valéra, 2 place du Foirail à Tarbes, les expose.
Trois nouveautés sur pixbyroland
Retrouvez les Rolling Stones avec « Paint It Black », Janis Joplin avec « One Good Man » et Bob Dylan avec « Rainy Day Woman #13&35 » interprétés en image.
Ma nouvelle oeuvre inspirée par The Who
Je viens d’ajouter une nouvelle photo dans l’album musique inspirée par la chanson du groupe the Who, intitulée 5:15.
I just published a new picture in the music album inspired by The Who’s song, called 5:15.
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Métamorphoses du Portrait : Du Fauvisme au Numérique
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L’abstraction et la peinture digitale
L’histoire de l’abstraction en peinture remonte à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Les premières formes d’abstraction en peinture sont apparues en Europe, principalement en France et en Russie
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Dan Frank : en dehors des conventions sociales
Pour tous ceux qui trouvent la vie d’aujourd’hui austère, emprunte de fatalisme, tragique, trop politiquement correcte, engluée dans l’ultra libéralisme vainqueur où dans la vie quotidienne la fantaisie fait défaut , gommée par « la société du spectacle » et le mercantilisme, un remède, mieux, une cure de bonheur existe, ce bienfait a un nom, un titre : « Le temps des Bohèmes » de Dan Franck.
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Laissez-moi le chaos
N’attendez pas de moi que je me conforme à vos attentes. Elles ne sont que le miroir d’un monde qui m’est étranger, un monde verrouillé dans la quête illusoire du confort et de l’apparence. Vous voudriez m’assigner une place dans ce théâtre bien ordonné où les rôles sont distribués d’avance : celui du citoyen docile, […]
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L’abstraction comme langage intérieur
L’abstraction n’est ni un renoncement au réel ni un jeu de formes détaché du sens. Elle est un langage de l’indicible, une transcription des tensions intérieures en matière et lumière. Je ne l’aborde pas comme une dissolution, mais comme une concentration : un épurement du visible pour en extraire l’essence. Si la photographie en noir […]
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Créer, ou l’art d’habiter l’absence
Créer, c’est tracer un sillage sur l’eau, un fil de lumière sur le vide, une mémoire fragile contre l’oubli. Qu’importe l’outil, qu’il soit plume d’acier, stylet numérique ou encre sur le papier : chaque geste engage une quête, chaque trait révèle une absence. Ce n’est pas tant l’image qui compte que le souffle qui l’anime, […]